Cyrille Bojiko

Cyrille Bojiko est un communicateur camerounais qui a su séduire le public avec son talent et son savoir-faire. Mais l’homme au fil des années a prouvé qu’il n’était pas seulement un excellent communicateur mais aussi un entrepreneur visionnaire. L’une des meilleures stations radio du Cameroun basée à Douala radio balafon porte son empreinte.

 Cyrille Bojiko a dû se plier à la volonté de son papa après l’obtention de son BEPC pour faire les études techniques. Pas mal des difficultés, en 1999 il obtient sa libération, le baccalauréat F3. partir decet instant, il est libre de faire la formation de son choix. Il suit une formation de journalisme puis de communication d’entreprise à l’Institut Ndi Samba à Yaoundé. C’est à la CRTV le média à capitaux publics en 2002 quoi qu’il fait ses premiers pas comme présentateur de l’émission « Champion » Talentueux, Il progresse à la CRTV.

Il va par la suite intégrer Radio Siantou. En 2006 il est nommé chef de service de l’animation musicale. Avec son expérience du milieu culturel, il crée une agence événementielle En 2008, il fait un bref passage chez le groupe TV+ (Canal 2 international, Sweet Fm) avant de se lancer définitivement dans la création de sa propre radio. En mai2011, les populations de Douala et ses environs découvrent Radio balafon Cyrille Bojiko le PDG au-delà du management de la chaîne brille par sa présence sur les ondes. La matinale qu’il coprésente « sacré Matin;» rencontre un succès phénoménal. Radio balafon monte en puissance et devient très rapidement la radio la plus écoutée de Douala.

               Cyrille Bojiko le fils du département de Bamboutos à l’Ouest du Cameroun est aujourd’hui considéré comme un exemple pour la jeunesse camerounaise. Sa ténacité et son courage sont des sources d’inspirations pour les jeunes qui aspirent à l’entrepreneuriat et à la grandeur. Très présent dans les campus, Cyrille croit aux potentialités des jeunes et trouve toujours du temps pour motiver et donner des conseils. Aujourd’hui, l’on peut dire que c’est l’exemple même de ce que l’on appelle communément « seul le travail paye »